lundi 23 février 2015

Yellow Birds de Kevin POWERS


"On ne retenait que les choses inhabituelles or la mort n'était pas inhabituelle."

"La liberté ne se résume pas à une absence de responsabilité."

Roman sur l'expérience de la guerre en Irak.
Relativement agréable à lire si l'on ne s'attarde pas sur l'usage excessif du passé simple.
Sujet fort.

Le scarabée de Richard MARSH


"Je me sens comme un soldat brûlant du désir de se battre et à qui on ordonne de servir de cible à l'ennemi."

Grande amatrice de W. Collins, auteur de thrillers du 19 ème Siècle, je découvre au détour d'un blog, Richard Marsh.
Le Scarabée est délicieusement mystérieux, 
Parfaitement rythmé

Aussitôt reçu, aussitôt lu.

Ooana & Salinger de F. Beigbeder


La correspondance fictive entre ces deux personnalités.

Quelques bonnes phrases:

" Le but de la guerre n'est pas de faire la paix mais d'avoir la paix".

"Le bonheur est un solide alors que la joie est un liquide".

Je n'en garderai pas un souvenir impérissable, 
Douloureux à la lecture, 
Divagations d'un écrivain en mal d'inspiration.

Maman ou Papa, certainement PAS


Le film:

Florence et Vincent divorcent mais ils vont tout faire pour ne pas avoir la garde de leurs enfants.

Je suis consternée par le propos du film.
Scénario ayant comme thème l'individualisme

L'égoïsme des parents
La bêtise des enfants

Une bien triste image de notre société,
Fuyez !!!

dimanche 22 février 2015

Histoires regrettables de Wilkie Collins


Récits mystérieux qui séduira les esprits curieux.

Pris de bâillements rapidement, 
Ce livre est fait pour vous, 

Composé de petites histoires, 
Vous ne le lâcherez qu'à la fin venue.

Un homme effacé d'Alexandre POSTEL



Un récit implacable sur la construction de la culpabilité d'un homme.

Bien écrit, dynamique.
Pris dans l'engrenage de la lecture, on ne le lâche pas.

Désillusion de Joanna CANNAN


L'histoire d'une femme, devenue mère.
Elle se sacrifie, étouffe ses envies pour donner vie à ses enfants.
Mais elle renaîtra.

Une découverte, 
Un vrai Bonheur!!!

dimanche 1 février 2015

Imitation Game: Secret d'histoire


Le film:

En 1940, Alan Turing est chargé par le gouvernement britannique de percer le secret de la machine de cryptage allemande, Enigma.

L'histoire fascinante d'un homme,
Resté dans l'ombre, il a façonné l'histoire.

Le film participe à la course à l'Oscar,
Mené par des acteurs grandioses,

Le scénario est simple mais efficace,
les dialogues subtils

J'avais déserté les salles obscures
Mais mon retour est des meilleurs.

mercredi 28 janvier 2015

La lettre qui allait changer le destin d'Harold Fry de Rachel Joyce


Le livre:

Harold reçoit un jour, une lettre d'une amie perdue de vue.

La qualité de cet ouvrage peut questionner
Mais je me laisse porter.

Une tête à alléger,
Un cœur à dénouer,

Découpé en tout petits chapitres,
Je ne risque pas l'usure.

L'ouvrage n'est pas révolutionnaire,
Au regard de ma consommation de livres, je l'oublierai mais il m'a ému

Le livre part mais les jolis mots restent en mémoire.

mardi 27 janvier 2015

Men, women, children: un film connecté


Le film:

Portraits de lycéens aux travers de leurs différents modes de communication.

Le nom de la réalisatrice ne m'est pas étranger
J'avais vu un précédent, "JUNO" que j'avais aimé.

Mais je n'ai pas apprécié ce dernier
Je ne me suis pas laissée portée

La voix off m'a lassée
Les acteurs m'ont ennuyée

Les parents sont caricaturaux
Le film sonne l’Amérique bien pensante.

Real humans: Bienvenue à HUBOT LAND



La série:

Les humains ont crée des robots.

Série suédoise conseillée que je me suis empressée de regarder.
Comme à mon habitude, je n'ai pas traîné

Mais il me faut aujourd'hui attendre la suite avec patience.

Cette série est intelligente.
Elle questionne le spectateur.

Puis il faut avouer qu'elle est particulièrement soignée et bien jouée.

Unique dans le paysage audiovisuel actuel
Elle n'a pas à rougir de ses concurrents américains.

Comment tuer son boss 2? De l'utilité du 2ème


Le film:

Comment tuer son boss, 2 ème version.

Le premier n'était pas de haute volée,
Le deuxième est à survoler.

Humour gras et scénario plat
Mais le tout est parfaitement assumé

Pas de mensonge sur la qualité
Pas de surprise à l'arrivée

Film taillé pour être oublié.

Tueurs de dames: N'est pas tueur qui veut.


Le film:

Un groupe de musicien loue une chambre dans la maison d'une vieille dame mais au lieu de répéter ils préparent un hold up.

Film drôlissime à voir et revoir

Un grand classique maniant avec brio l'art comique.

A l'affiche, Alex Guinness et Peter Sellers.

Parfaitement British !!!

The Riot Club: l'élite de la débauche


Le film:

Le cercle très fermé d'Oxford se retrouve pour une soirée pleine d'excès.

Comparé au club des poètes disparus à sa sortie
L'analogie est abusive.

Ce film est gratuitement violent
Sans fond, sans forme.

Il met en scène des jeunes hommes qui n'ont pour eux que leur physique avantageux
Le film sonne le creux.

En hommage à Robin Williams, retournons voir "le Club des Poètes Disparus" et boudons cet ersatz.

J'ai 15 ans et je ne veux pas mourir, de Christine Arnothy




Cadeau Hongrois de Noël

Grand classique de la littérature hongroise que je ne connaissais pas
Mais que l'on ne trouve nulle part, exception faite de Mollat.

Ce livre est d'une tristesse infinie, chaque espoir se solde par une déception.

L'histoire hongroise est tragique, faite de déracinements.
Christine Arnothy, avec la sensibilité de l'adolescence, participe à la transmission de cet héritage.

jeudi 8 janvier 2015

Une heure de tranquilité: Monologue raté


Le film:

Michel, fan de jazz, veut écouter son nouvel album mais le sort s'acharne contre lui.
 
Ce film marque le retour de Clavier
"Qu'est ce qu'on a fait au bon Dieu" fût un succès
L'essai va t-il se confirmer?

La promotion fût appuyée
A en faire douter la qualité
Je me dois de tester

Je suis déçue
Les acteurs en font trop
Est absent, le scénario.

A most violent Year: Univers de gangster


Le film:

Un immigré tente de se faire une place dans le business du pétrole.

Film très classique
Ambiance à la Scorcese 
Mais sans l'égaler

Vite gagnée par l'ennuie
Je ne me suis pourtant pas endormie
Mais l'envie y était

Oscar Isaac manque de présence
Jessica Chastain surjoue
Le tout manque de substance.

Whiplash: la leçon de batterie


Le film:

L'apprentissage d'un jeune prodige de la batterie.

Le film est rythmé
Terriblement bien joué
Un vrai plaisir à regarder
Une joie à écouter.

Certes, il n'innove pas
Mais l'ensemble est harmonieux
On ne s'ennuie pas
Actuellement, je ne trouve pas mieux.

vendredi 2 janvier 2015

Les souvenirs: Comédie à retenir?


Le film:

Roman voit sa grand-mère contrainte d'aller en maison de retraite. 
Mais, un jour elle s'enfuit.

N'ayant pas lu le roman de de David Foenkinos
Je ne dispose pas de point de comparaison
Je me limiterai à l'observation du film

L'histoire est attachante
La rencontre de 3 générations
Racontée avec délicatesse.

Mais la subtilité manque
L'humour omniprésent n'est pas toujours bien amené
Et la fin n'est pas subtilement traitée.

La french: Je sèche


Le film:

Inspiré d'une histoire vraie, celle de la French Connection.
Nous suivons le démantèlement d'un réseau mafieux agissant sur Marseille.

Mené par un duo d'acteur que je n'affectionne pas du tout
Je prends tout de même le risque

Mon verdict a quelques difficultés à tomber
Je n'ai pas apprécié

Les acteurs jouent platement
Le film dure bien longtemps

Le propos du film qui se veut politique n'est pas abouti
Celui -ci s'attache trop aux petites histoires obérant la grande.

La famille Bélier: Comédie signée


Le film:

Née dans une famille de sourd, Louane se découvre un don pour le chant.

Comédie de fin d'année ayant bénéficié d'une certaine publicité
Ceci me fait douter de sa qualité
Sortie sous le label UGC spectateur
Le mérite t-il?

Mon verdict est plus nuancé
Je me suis amusée
Mais les extraits diffusés à outrance ont desservi le film
Les meilleurs moments sont déjà connus

L'histoire est un brun caricaturale
Karin Viard et François Damiens forcent le trait
Les autres acteurs s'en sortent bien
Je me réjouis d'un film en langue des signes

Père Noël: Il descend du toit


Le film:

Un cambrioleur grimé en père noël se voit stoppé dans son entreprise par un petit garçon.

Certainement pas le film de l'année
Mais définitivement celui de la fin d'année

Cette comédie est certes, cousue de fil blanc
Mais les deux acteurs sont terriblement attachants

Je me suis laissée portée
L'histoire est amusante, touchante

Des ingrédients utilisés avec parcimonie
La recette du succès.

White god: la guerre est déclarée


Le film:

En Hongrie, les chiens sans race sont maltraités.
Mais la vengeance sera sans pitié.

Ce film est inclassable.
Violent et prenant

Non dénué de défauts
Mais le propos est beau

Les acteurs sont excellents
Cette œuvre mérite le détour.